L’appel du roi

Sacré-Cœur de Jésus

Ô France que j’aime, tu gémis dans le trouble et te voilà près de l’abîme. Mais Jésus, ton véritable roi, veille sur toi.

Ô France que j’aime, Dieu a fait alliance avec toi. Le secret d’amour de son Cœur doit se révéler chez toi. Parce que tu n’as pas su l’accueillir quand il s’est présenté à toi tu es tombée bien bas. Mais Dieu se souvient encore de toi.

Ton passé élogieux se rappelle à nous, et il nous faut redire aujourd’hui que chaque nation est unique, chaque pays a une vocation qui se manifeste dans une culture, un terroir, des valeurs, et des us et coutumes qui lui sont propres.

Alors Dieu aujourd’hui veut appeler pour la France son roi. Non pas pour un coup d’état politique ou pour des manigances partisanes, mais pour venir au secours du pays, de l’Église et du monde, et manifester les trésors d’amour du Sacré-Cœur.

Vous trouverez ici un descriptif des hommes providentiels que nous devrions attendre selon nous : https://sagessechretienne.fr/2022/02/24/lhomme-providentiel/

Les rois de France ont failli autrefois, car seul le Cœur de Jésus aurait pu leur permettre de rester humbles et petits. Seul le Dieu d’Amour peut garantir que ne règne pas l’orgueil et l’égoïsme. Seul le Dieu d’Amour peut donner un monde où chacun trouve sa place dans une communauté vivante.

Le roi que Dieu appelle aujourd’hui n’est pas un roi politique, mais un serviteur mystérieux venant instaurer l’ordre des apôtres des derniers temps. Il ressemble plus à Frodon qu’à Aragorn. Il nous sera manifesté bientôt et paraîtra bien petit et bien faible. Ni beau ni brillant, il aura pourtant mission d’apporter le salut de Dieu à la France, puis à l’Église et au monde.

Comme ce fut le cas des rois des France, il faut attendre l’attestation de sa mission par le signe de la guérison. Quand viendront les trois jours de ténèbres, quand tout semblera vaciller, quand la maladie se répandra en un rien de temps semant la mort. Alors, il n’y aura d’autre secours que d’invoquer le Sacré-Cœur de Jésus par l’intercession de saint Raphaël et en union avec l’élu de Dieu, et l’on trouvera la guérison. Comme le serpent de bronze dressé par Moïse, ces trois invocations dites ensemble donneront le salut : « Par le Sacré-Cœur de Jésus, par l’intercession de saint Raphaël et en union avec le serviteur de Dieu Henri de la Croix, que le salut et la guérison nous soient donnés. »

On pourrait s’étonner que l’on invoque ici saint Raphaël et non saint Michel. Mais Raphaël veut dire Dieu guérit. Et c’est par ce signe que Dieu veut nous envoyer son élu, qui bien sûr est guidé avant tout par saint Michel. Ce signe montrera sa légitimité, et qu’il convient de l’écouter. Il ne viendra pas pour gouverner, mais pour témoigner des mystères d’amour de notre Dieu.

Puis, un jour, dans bien longtemps, un autre roi, politique celui-là et de la race de saint Louis, qui se sera mis en tenue de serviteur durant des années, viendra avec la bannière du Sacré-Cœur à l’heure de l’épreuve où la France redevenue chrétienne devra faire face à un monde impie venu la détruire. Et par cette bannière invincible, et cette fois-ci par l’invocation de saint Michel, il remportera la victoire.

France, Covid et Communion

La Covid porte bien son nom. C’est la coalition du vide, du néant, de l’abîme. Non pas le virus en tant que telle, mais tout ce que l’on fait autour. C’est l’occasion d’abîmer encore davantage la communion dans l’humanité.

Sur la crise sanitaire, nous partageons l’analyse du collectif Réinfo Covid (reinfocovid.fr). Nous sommes inquiets des mesures sanitaires qui ont été prises et qui délitent toujours davantage le lien social, ainsi que l’équilibre et la santé des gens. Nous sommes en train de nous préparer des lendemains qui déchantent.

Sur le vaccin, les conséquences néfastes sont trop imprévisibles pour l’accepter sans broncher, et pour laisser toute une population, fut-elle âgée, servir de cobaye. Pourquoi nous sortent-t-ils une nouvelle technologie très novatrice sur un vaccin à grande échelle, au lieu de l’éprouver d’abord à petite échelle ? Il en sortira plus de mal que de bien. D’autant que les spécialistes disent ouvertement que l’on ne sait même pas s’il empêchera le virus de circuler : c’est un comble. Ne pas se faire vacciner, telle est selon nous l’unique règle de conduite à tenir.

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L’anneau du pêcheur

Blason pape

Demain, 6 octobre, c’est la fête de saint Bruno (~1030 – 1101), qui a fondé l’ordre des chartreux dans le massif du même nom près de Grenoble. Cet ordre est celui qui, silencieusement, caché de tous, a très certainement porté le plus de fruits pour l’Église, au moins du côté latin, au cours du deuxième millénaire. Cet ordre a la vocation, à la suite de saint Jean-Baptiste, à se tenir au désert près de la Croix du Christ, tel l’épouse près de l’époux, pour permettre à la vie de Dieu de pénétrer ce monde, de l’irriguer, pour faire que la puissance de la Résurrection l’envahisse, pour faire que l’amour soit vibrant au cœur de l’humanité, et pour que le mystère de la communion et de l’unité, venant de l’Alliance avec Dieu, irrigue toutes les dimensions de ce monde.

De communion et d’unité, l’Église et le monde en ont bien besoin, aujourd’hui comme hier. Lire la suite « L’anneau du pêcheur »

Immigration et identité

france monde

Les vagues d’immigration qui arrivent sur notre sol font craindre à certains que soit balayée bientôt notre identité. Ils affirment que les tensions ne vont faire que monter entre ceux qui sont attachés à nos racines, et ceux qui arrivent déracinés avec des cultures parfois fort éloignées, avec des valeurs souvent très différentes, et avec peu ou pas de volonté de s’inculturer.

Les personnes qui arrivent chez nous le font parfois pour fuir des lieux de guerres, d’autres fois pour chercher un environnement économique plus favorable. Il peut y avoir aussi beaucoup d’autres raisons plus ou moins louables, comme celle d’islamiser notre pays.

L’appel de la charité nous pressent à ne pas laisser sur le tapis ces personnes qui frappent à nos portes, mais le service du bien commun nous demande une certaine prudence.

Faut-il donc accueillir largement ces personnes ? Ou faut-il préserver notre identité et leur fermer la porte ? Lire la suite « Immigration et identité »